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Presse - Guillaume Villeneuve, traducteur

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« Le Temps des offrandes admirablement traduit par Guillaume Villeneuve qui a su relever un pari difficile » “(Nicolas Bouvier, L’Express, 6 juin 1991)

« Dans une langue admirable, supérieurement traduite, Leigh Fermor conte son odyssée […] » (Maryvonne de Saint-Pulgent, Le Point, 6 juillet 1991, à propos de Le Temps des offrandes).

« Les Mémoires [de Gibbon], quant à eux, font aujourd’hui l’objet d’une édition française particulièrement soignée, et la version de Guillaume Villeneuve a su traduire l’élégance d’une langue qui ne trahit pas son siècle ». (Claude-Michel Cluny, Le Figaro, 3 février 1992)

“la limpidité de la traduction d’Entre fleuve et forêt de P. Leigh Fermor qui produit ce miracle assez rare au cinéma : on oublie que le film est doublé.” (Jean-Baptiste Harang, Libération, 7 mai 1992).

“Guillaume Villeneuve qui nous donne là la magistrale traduction des Mémoires de Gibbon “ (Dominique Durand, Le Canard enchaîné, 6 mai 1992) .

"J’ai mis à profit ce week-end pour lire attentivement votre belle traduction de l’Autobiographie de Stephen Spender." (Christian Bourgois, lettre au traducteur du 22 septembre 1992).

“Guillaume Villeneuve, traducteur de génie“ (Anne Pons, L’Express, 22 septembre 1994, à propos d’Ulverton).

“L’unanimité, en revanche, se fait autour de la prouesse réalisée par le traducteur [...] Grâce soit ici rendue à son exceptionnel talent d’adaptateur sans lequel il n’y aurait pas de livre.” (Marc Porée, La Quinzaine littéraire, 16 octobre 1994 sur Ulverton).

“Guillaume Villeneuve (qui s’est fait une spécialité de bien traduire Trollope) [...]“ (Alain Jumeau, La Quinzaine littéraire, 1er juin 1995, à propos du Premier ministre).

“Il y a dans ce Voyage au cœur de l’esprit, rédigé d’une plume exigeante et fière et brillamment traduit par Guillaume Villeneuve [...]” Dominique Bona, Le Figaro, 8 mai 2003

“Les fragments autobiographiques (Voyage au cœur de l’esprit) qui paraissent aujourd’hui dans une belle traduction de Guillaume Villeneuve [...] ’’ Alain Feutry, Europe, nov.- déc. 2003

“Excellente traduction” à propos d’Edith Templeton, Irrésistiblement, Sébastien. Fumaroli, Le Figaro, 26 mai 2005

« La traduction de Guillaume Villeneuve est à la hauteur de l’original, » Philippe Barthelet, à propos de La Traite des Noirs, de Hugh Thomas, Valeurs Actuelles, 22 décembre 2006

« Ajoutons que la sûreté de la traduction n’est pas une des moindres qualités de ce très gros ouvrage. » Marcel Dorigny, à propos de La Traite des Noirs de Hugh Thomas, in Revue du Dix-Huitième Siècle, n° 39 - 2007

"Nous partons à l’instant même pour Antibes, pour recevoir un merveilleux prix littéraire - Le Grand Prix Jacques-Audiberti de la Ville d’Antibes - pour A Time of Gifts magnifiquement traduit par Guillaume Villeneuve. Personne ne lira plus la version anglaise," Patrick Leigh Fermor, In Tearing Haste, Letters between Debo Devonshire and Patrick Leigh Fermor, Londres, 2008, pp. 292-3.

« Le traducteur Guillaume Villeneuve souligne « ce que la syntaxe de l’auteur a de proprement baroque [...] traits ou négligences qui obscurcissent parfois l’interprétation ». Pour respecter cette « ambivalence », sa traduction s’est inspirée du style des auteurs français contemporains d’Aphra Behn, « de leur grammaire et lexique baroques ». Le résultat tient donc davantage de l’élégance française que du style parfois confus, mais toujours évocateur d’Aphra Behn. Le vocabulaire et la syntaxe des grands romans baroques accentuent le souffle héroïque qui traverse le texte d’Aphra Behn, lui ajoutent une fluidité, un rythme qui, s’ils n’imitent pas exactement l’original, confèrent à la traduction une grande beauté et restituent au texte d’Aphra Behn sa véritable dimension héroïque. » (Catherine Gallouët, Eighteenth Century Fiction, vol. 24, Automne 2011, à propos d’Oroonoko.)

« Un livre majeur servi par une traduction exceptionnelle, » Galignani, Le Journal de l’été 2014, à propos de Dans la nuit et le vent, la trilogie complète de Patrick Leigh Fermor.

« Traduit par Guillaume Villeneuve dans un français d’une élégance et d’une richesse admirables, l’ensemble est édité par Paul-Erik Mondron, qui dirige les éditions Nevicata à Bruxelles. Les trois parties ont été réunies en un volume d’un agréable format, d’une typographie claire et d’un intérêt constant. A quelque page qu’on l’ouvre, on ne décroche pas de sa lecture, et on se laisse conduire avec un plaisir constamment renouvelé par l’art et l’érudition d’un magistral écrivain-voyageur. », à propos de Dans la nuit et le vent, la trilogie complète de Patrick Leigh Fermor - Jacques Franck, La Libre Belgique, 19 juin 2014.

« Des séjours, déconcertants puis recherchés, à l’abbaye de Saint-Wandrille de Fontanelle, à Solesmes, à la Grande-Trappe, lui ont fait découvrir la vie des moines, le silence qu’ils s’imposent, les heures qu’ils chantent, la chasteté et l’obéissance qu’ils observent, les travaux qu’ils mènent, le bonheur qu’ils y trouvent. La visite des monastères rupestres de Cappadoce et l’évocation des abbayes anglaises détruites par la Réforme complètent ce reportage d’une honnêteté admirable, remarquablement écrit et non moins remarquablement traduit par Guillaume Villeneuve. », à propos d’ Un temps pour se taire de Patrick Leigh Fermor, édité par Nevicata, Bruxelles - Jacques Franck, La Libre Belgique, 11 mai 2015.

« À sa parution au Royaume-Uni en 1957, ce livre rencontra un grand écho. Plusieurs fois réédité outre-Manche, c’est grâce au dévouement de son traducteur Guillaume Villeneuve que le public français peut désormais le découvrir dans cette version élégante et inspirée. » , à propos d’Un temps pour se taire de Patrick Leigh Fermor - édité par Nevicata, Bruxelles - Charles Ficat, Revue des Deux Mondes, Juin 2015.

« Les républicains dignes de ce nom se souviennent peut-être qu’un ancien locataire de l’Élysée, juste avant d’être élu, avait laissé entendre qu’il inaugurerait son quinquennat dans un monastère. Il avait finalement préféré se recueillir sur le yacht d’un ami milliardaire près de Malte. Le grand Patrick Leigh Fermor (1915-2011), lui, n’avait pas molli. Ce prince de la littérature de voyage, par ailleurs officier des services spéciaux britanniques en Crète pendant la Seconde Guerre mondiale, avait plongé dans le monde du silence à plusieurs reprises. Et le récit (magnifiquement traduit) de ses expéditions chez les bénédictins de Fontanelle et les cisterciens de la Grande-Trappe, qui s’achève devant les fresques rupestres de Cappadoce, face aux « origines du monachisme » dans « une vallée de coquilles vides », vaut bien des romans d’aventures exotiques. », à propos d’Un temps pour se taire de Patrick Leigh Fermor - édité par Nevicata, Bruxelles - Grégoire Leménager, L’Obs, 9 juillet 2015.

« Par un matin de fin d’été, un visiteur à l’humeur apathique se présente au portail de l’abbaye normande de Saint-Wandrille. Fuyant les excès de la vie citadine, il cherche pour quelque temps un refuge où se livrer à l’écriture. La crainte d’être rejeté pour ses motivations profanes se dissipe bientôt devant la discrétion de ses hôtes, mais il se heurte avec rudesse au rythme de leur vie peu commune : il lui semble avoir été « par erreur enfermé dans les catacombes ». Peu à peu toutefois, ce premier sentiment s’efface pour faire place à un second, qui dépasse le plaisir de l’esthète ou de l’érudit, et le saisit comme à son insu : un véritable « état de paix inconnu du monde ordinaire ». Ce visiteur n’est autre que l’écrivain britannique Patrick Leigh Fermor, dont les récits de voyage, célèbres outre-Manche, ont été traduits dans un français d’une remarquable élégance grâce au dévouement et au talent de son ami Guillaume Villeneuve (« Personne ne lira plus la version anglaise », affirmait l’auteur (...)). Leigh Fermor nous guide à travers l’histoire, les lieux, les rites et les hommes des abbayes de Saint-Wandrille, de Solesmes et de la Trappe, avant de nous mener aux mystérieux monastères rupestres de Cappadoce, paysage brûlant de la chrétienté originelle. Soucieux de ne pas brutaliser son sujet, il esquisse avec pudeur ce monde de silence au seuil duquel il se tient sans jamais prétendre résoudre le mystère de ces vies consacrées qui forcent notre fascination : « Eux seuls ont collectivement affronté le terrifiant problème de l’éternité. » » à propos d’Un temps pour se taire de Patrick Leigh Fermor - édité par Nevicata, Bruxelles - Maxence Collin, Études, février 2016.

« L’historien britannique, issu d’une famille princière croate, remet à l’heure toutes les pendules de l’univers, par la grâce d’un ouvrage dévorant d’intérêt (...) aujourd’hui rendu en français dans une langue délectable par Guillaume Villeneuve, dont on doit également saluer le talent sensationnel. Un talent que, dans un même élan, l’on reconnaîtra aussi à Paul-Erik Mondron, fondateur des éditions belges Nevicata, qui a le don de découvrir et de promouvoir les auteurs les plus considérables dans la sphère du voyage et de l’exploration. », à propos des Routes de la soie, de Peter Frankopan - Éric de Bellefroid, La Libre Belgique, 30 octobre 2017.

« Découvrant avec surprise l’étonnant voyage d’Onfray à la grande Trappe, j’ai eu envie de vous parler d’une expérience semblable, celle de Patrick Leigh Fermor à l’abbaye de Saint-Wandrille. C’était en 1951. Patrick Leigh Fermor s’était déjà rendu célèbre par ses exploits du temps de la guerre, mais surtout en écrivant ce livre magistral qu’est Le Temps des offrandes, récit d’un voyage à pied fait à l’âge de 20 ans de Londres à Constantinople. Le voici donc à Paris, menant une vie de noctambule où ne manquent ni les femmes ni l’alcool. Il veut faire retraite pour écrire, et se voit recommander l’abbaye de Saint-Wandrille. Il s’y présente un peu au hasard pour un séjour d’une semaine. Il y restera plusieurs mois et y écrira peut-être son plus beau livre, Un temps pour se taire, que l’on peut lire en français dans une excellente traduction de Guillaume Villeneuve. C’est le livre d’un agnostique et qui ne cessera pas de l’être, mais qui, pendant son séjour, trouvera dans ce monastère ce qu’il n’était certes pas venu y chercher, et dont je ne vous dirai rien.

Il se dégage de ces pages une belle impression de réconfort et de discernement spirituel. À son arrivée, enveloppé de silence, et privé des diverses béquilles dont il avait l’habitude d’user, Leigh Fermor plonge dans la dépression. Au bout de quelques jours, il connaît comme une nouvelle naissance qu’il ne s’explique pas lui-même, et d’un coup la vie de ces moines lui semble compréhensible, désirable, éminemment fraternelle. Le retour évidemment sera difficile, le monde qu’il avait eu tant de mal à abandonner lui semblant à présent insupportable de laideur, de violence et de vulgarité.

Les moines de Saint-Wandrille, descendants de ceux qu’a connus Patrick Leigh Fermor, sont sensibles à la cause des réfugiés. Je le tiens d’un de leurs voisins, un haut fonctionnaire aussi athée qu’on peut l’être. Mais leur vie, contrairement à la nôtre, est tout organisée pour les rendre capables de délicatesse, et c’est de cela dont je voudrais parler.

On disait quand j’étais jeune que la façon de donner vaut mieux que ce que l’on donne, et c’est particulièrement vrai lorsqu’on entend donner à ceux qui n’ont plus rien ; à ceux qui viennent de ces pays qui nous sont étrangers, et dont les habitudes ne sont pas les nôtres.(...) » à propos de Patrick Leigh Fermor, Dans la nuit et le vent et Un temps pour se taire, publiés par Nevicata, Bruxelles, extrait d’une chronique intitulée « Pas en notre nom ! » de François Sureau, La Croix, 2 janvier 2018.

"Les livres se retrouvent souvent sur pellicule ; le trajet inverse, des images aux mots, est plus rarement parcouru. L’ouvrage de Kenneth Clark est bien exceptionnel, et à plus d’un titre. Il est issu d’une série d’émissions de la BBC sur la civilisation. Celles-ci avaient connu en 1969 un succès colossal en Angleterre et aux États-Unis, et pratiquement fondé le genre du documentaire culturel télévisuel. (...)

L’élitiste Kenneth Clark trouvait dans la télévision populaire un moyen de combiner « des mots et de la musique, de la couleur et du mouvement, [et de] dilater l’expérience humaine d’une manière dont sont bien incapables les mots seuls ». Il a pourtant voulu faire un livre, car en enregistrant ses émissions il s’était découvert un « point de vue » qui ne pouvait être pleinement exposé qu’à l’écrit : sa conviction que la civilisation est synonyme d’harmonie, de symétrie, d’élévation intellectuelle et spirituelle (Beethoven !) et aussi de prospérité (...)

Dans sa transition de l’écran au papier, le propos de Kenneth Clark ne subit aucune déperdition, bien au contraire. Car le lecteur a sur le spectateur le grand avantage de maîtriser son temps, sans subir l’ordonnancement et le rythme du réalisateur. Il peut s’attarder, revenir en arrière pour savourer l’un ou l’autre des aperçus toujours originaux et souvent géniaux dont Kenneth Clark bombardait sans merci son spectateur. Sa langue simple et claire (excellemment traduite) suscite chez le lecteur une attention sans partage et donne à ses vues toute la place qu’elles méritent. Les incon­ditionnels de l’image peuvent toujours revisionner les émissions de Kenneth Clark ; mais ils devraient le faire la télé­commande dans une main et le livre dans l’autre."

Jean-Louis de Montesquiou, à propos de Civilisation de Kenneth Clark, publié par Nevicata, Bruxelles, 2021 in "Books", livraison de septembre-octobre 2021.

"Kenneth Clark (1903-1983) fut, de 1934 à 1945, le plus jeune directeur de la National Gallery, puis un brillant historien d’art, formé notamment par le gourou de l’art italien, Bernard Berenson. D’une série documentaire retraçant pour la BBC mille ans d’art européen, il tira en 1969 un ouvrage qui remporta un succès international. Le revoici publié par les éditions Nevicata, dans une nouvelle et superbe traduction de Guillaume Villeneuve. Il offre un enchantement de lecture par une permanente inscription des œuvres d’art dans l’évolution des esprits. (...)"

Jacques Franck, La Libre Belgique, 6 octobre 2021, à propos de Civilisation de Kenneth Clark.


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